Tarifs :
12/25 ans : 10€ | Abonné·e : 22€ | Prévente : 25€ | Sur place : 27€
Ouverture des portes : 19H00
Début des concerts : 20H00
Bertrand Belin fait son grand retour sur la scène de L’Echonova pour présenter son dernier album : « Tambour Vision » !
Être au monde. Comment se fait-on à l’idée d’être ici-bas, soumis aux aléas d’une existence plus surprenante que nous ? Être au monde, flanqué d’une altérité avec laquelle on doit composer, pour le meilleur et pour le pire.
C’est ce que raconte le septième album de Bertrand Belin. Antidote idéal à nos angoisses, nos solitudes, mixture hybride de pop francophone incitant à l’ivresse des sens et des luttes. Remède à la banalité actuelle, car refusant toutes contraintes. De la liberté, il y en a toujours eu depuis le premier album éponyme de Bertrand Belin, en 2005. Mais elle irradie ici comme dépourvue de filtres, ignorant les coquetteries et le brouillard actuel.
Roxane et Vivien n’ont qu’une seule chose en tête : garder leurs rêves intacts et goûter intensément la vie
Barbara Rivage est né, en pleine nuit, à l’heure où l’espace de création est infini, poussé par un besoin viscéral d’exorciser ses peines. D’abord influencé par le groupe mythique The Velvet Underground et la chanteuse Nico, leurs chansons se précisent, s’affinent et se tournent vers une pop en français inspirée des univers de Sébastien Tellier, de Christine and the Queens ou bien des Strokes. La voix sombre et intense de Roxane confronte une poésie dramatique aux guitares mélodieuses et réconfortantes de Vivien. Leur musique résonne comme un appel dans la nuit et nous plonge à jamais près de ces drôles d’oiseaux qui s’envolent vers la lumière, dans un duel au coucher de soleil.
Être au monde. Comment se fait-on à l’idée d’être ici-bas, soumis aux aléas d’une existence plus surprenante que nous ? Être au monde, flanqué d’une altérité avec laquelle on doit composer, pour le meilleur et pour le pire. C’est ce que raconte le septième album de Bertrand Belin. Antidote idéal à nos angoisses, nos solitudes, mixture hybride de pop francophone incitant à l’ivresse des sens et des luttes. Remède à la banalité actuelle, car refusant toutes contraintes. De la liberté, il y en a toujours eu depuis le premier album éponyme de Bertrand Belin, en 2005. Mais elle irradie ici comme dépourvue de filtres, ignorant les coquetteries et le brouillard actuel. Droit à l’âme, donc, ce Tambour Vision, confectionné dans le home studio de Bertrand Belin, en banlieue parisienne, de janvier à octobre 2021. C’était peu après le tournage de la comédie musicale des frères Larrieu, Tralala, où il confirme un talent d’acteur déjà appréciable lors de ses concerts. Cette expérience filmique n’aura pas d’incidence directe sur l’enregistrement qui s’ensuit, hormis ce sentiment de se reposer de soi-même, l’espace de quelques mois, pour les besoins d’un rôle. Une « mise en jachère », dit Belin, une régénération existentielle qui explique sans doute le « plaisir décuplé » à faire ces nouvelles chansons.